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Bouillon d'os

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Le bouillon d’os

Le bouillon d’os est un produit dérivé des os ou tissus conjonctifs des animaux et des espèces marines. C’est un aliment censé avoir plusieurs bénéfices pour la santé.

Qu’est-ce que c’est ?

Le bouillon d’os est un produit fabriqué en faisant mijoter les os, la moelle et les tissus conjonctifs (pieds, becs, nageoires, par exemple) des animaux. Les sous-produits de n’importe quel animal peuvent être transformés en bouillon. Des volailles, animaux bovins ou espèces marines sont utilisés pour en cuisiner du bouillon d’os.

Les os ou tissus doivent être mijotés dans de l’eau chaude, le plus longtemps possible ; on peut aussi rajouter des légumes, des peaux d’oignons, des herbes et épices. Rajouter du vinaigre aide à libérer les nutriments des os.

Ce bouillon est utilisé en restauration dans les soupes et les sauces, et dans la nutrition fonctionnelle comme une boisson riche en nutriments.

Bien que facile à faire, le bouillon prend beaucoup de temps. Des alternatives commerciales sont donc disponibles pour avoir ce produit sous le pouce. Néanmoins, il faut faire attention à la qualité et la composition du bouillon. Les bouillons en cube sont riches en additifs. Les bouillons liquides devraient être composés que d’eau et des os.

Les bienfaits

Le bouillon d’os a une série de composants qui font que ça soit un aliment très intéressant au niveau nutritionnel, et à inclure en permanence dans un mode alimentaire équilibré.

Les os des animaux sont riches en plusieurs minéraux, tels que le magnésium[1], potassium[2] et sodium[3]. Ceux-ci constituent ce qu’on appelle des électrolytes[4], essentiels pour le bon fonctionnement du corps[5]. Ces minéraux[6] aussi aident à la densité osseuse[7], donc évitant des problèmes liés au manque des minéraux comme l’ostéoporose.

Le bouillon d’os est extrêmement riche en collagène[8], une protéine essentielle et la plus abondante du corps. En cuisinant les os, ceux-ci vont nous apporter plusieurs acides aminés essentiels pour le corps[9] [10].  Le bouillon qui inclue de la moelle osseuse va aussi apporter[11] de la vitamine A, de la vitamine K2 (extrêmement essentielle et souvent oubliée), des acides gras tels que de l’oméga 3 et 6, et des minéraux tels que le zinc, fer, manganèse, sélénium et fer.

Les bouillons d’os qui incluent des tissus conjonctifs contiennent aussi de la glucosamine et chondroïtine, qui aident à la santé des articulations[12] [13] [14] [15]; le bouillon de poisson a une bonne quantité de iodine[16], qui permet le bon fonctionnement de la thyroïde[17] et régule le métabolisme.

D’autres bienfaits peuvent inclure la prévention de l’inflammation grâce à la présence des acides aminés comme l’arginine[18]  et la glycine[19], qui aussi aide au sommeil[20] [21] [22]; la glutamine présente dans le bouillon a un effet bénéfique pour le bon fonctionnement de la paroi intestinale et la prévention du syndrome de l’intestin qui fuit[23].

Conclusion :

Le bouillon d’os est un aliment riche en vitamines, minéraux et acides aminés. Sa consommation régulière peut avoir des nombreux bénéfices pour la santé. Le bouillon ne devrait que contenir des os, arrêtes et eau. Quelques légumes, herbes et aromates peuvent être aussi utilisés.



[1] https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC4455825/

[2] https://journals.physiology.org/doi/full/10.1152/advan.00121.2016

[3] https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/22110105/

[4] https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/31082167/

[5] https://www.ncbi.nlm.nih.gov/books/NBK541123/

[6] https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC5533136/

[7] https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC5804294/

[8] https://www.ncbi.nlm.nih.gov/books/NBK21582/

[9] https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC6891674/

[10] https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/25884286/

[11] https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC3417664/

[12] https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC4881293/

[13] https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC6097075/

[14] https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/28929384/

[15] https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC3392795/

[16] https://www.tandfonline.com/doi/abs/10.1080/23308249.2017.1399104?journalCode=brfs21

[17] https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC4049553/

[18] https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC4377861/

[19] https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC5350494/

[20] https://link.springer.com/article/10.1111/j.1479-8425.2007.00262.x

[21] https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC4397399/

[22] https://link.springer.com/article/10.1111/j.1479-8425.2006.00193.x

[23] https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/27749689/